jeudi 26 février 2015

Vidéo - Monteverde, forêts et colibris

Ultime vidéo de notre voyage, le parc national de Monteverde, forêt tropicale, ponts suspendus sur la canopée et de merveilleux moments entourés de colibris.

Monte Verde et Colibris from christian chartier on Vimeo.
Après le bleu des plages du Pacifique le vert des montagnes et les couleurs des colibris.

lundi 16 février 2015

Mes impressions de voyage … par Christian


Déjà plus d’un mois que nous sommes rentrés à Montréal et avant que mes souvenirs ne s’estompent je voulais mettre par écrit quelques points forts qui m’ont marqués.

Après le Mexique en 2007, le Vietnam en 2011 et l’Inde en 2013, l’Amérique Centrale est notre quatrième voyage back-pack en famille.

J’ai définitivement préféré les 3 précédents voyages, plus dépaysants, même le Mexique avec tous ses vestiges Mayas qu’on ne trouve pas ni au Costa Rica ni au Panama.

Les grandes lignes d’abord : j’ai beaucoup aimé les îles et principalement l’archipel des San Blas dans la mer des Caraïbes, un petit peu moins Boca del Drago à l’autre extrémité de la côte nord, toujours au Panama. Et  en règle générale j’ai préféré le Costa Rica au Panama. Il est vrai aussi qu’au Panama on a voyagé en bus et en taxi alors qu’au Costa Rica on avait loué un 4x4 ce qui laisse plus de liberté et permet de mieux découvrir l’arrière pays et de se déplacer à sa guise sans ces interminables attentes des transports en commun.

Je n’ai pas beaucoup ou même pas du tout aimé ni Panama City ni San José les deux capitales, contrairement à Hanoï, Saïgon ou même New Delhi et Bombay les mégapoles du Vietnam et d’inde qui m’avaient beaucoup plus intéressées et surprises par leur différence avec nos citées tant des villes européennes que nord américaines... moins de dépaysement principalement.

Panama City par exemple à part le vieux quartier en pleine restauration et qui vaut le détour, la ville moderne n’a rien de typique, un alignement de gratte-ciel en bord de mer sans beaucoup d’intérêt à part quelques tours avec une architecture vraiment originale. Même le canal qui attire beaucoup de touristes n’était pas exceptionnel comparativement à ceux du St-Laurent. Quand à San José, coté Costa Ricain, pas mieux. Un centre ville avec 2 ou 3 bâtiments historiques, le reste n’est que immeubles des années 70 en béton et le centre ville une suite ininterrompue de fast-food et de magasins de vêtement de piètre qualité. Heureusement qu’un marché regroupant la production artisanale a fini par attirer l’attention des filles qui avaient des achats à faire avant le retour.

Les gens en règle générale sont gentils et accueillants. Tant au Panama qu’au Costa Rica. Mais on reste avant tout de riches touristes pour eux, même si on fréquente les auberges de jeunesse et qu’on va sac à dos comme nous. Dans les transports en commun que nous avons pris au Panama les locaux étaient souriants quoique toujours distants même si nous nous débrouillons tous les quatre en espagnol. Mais nos contacts avec les « autochtones » ont été assez réduits car les auberges où nous avons dormi étaient assez souvent tenues et fréquentées par des immigrés.

Sur les plages fréquentées par les locaux on se serait dit à la plage d’Oka ici près de Montréal en été avec les BBQ et les caisses de bière… Paysages superbes mais détritus présents partout.

L’insécurité, surtout à Panama City et à San José les capitales, m’a marqué. Non pas que je me suis senti insécure moi même, mais l’abondance de protections mise en place par les habitants des quartiers aisés laisse songeur. Pas une maison qui ne soit entourée de barbelés ou de clôture électrique. Des grilles partout, même pour sécuriser l’entrée des boutiques chics un peu excentrées. Même chose pour les auberges ou nous avons dormi. Des grilles, des grilles …. Même pour séparer un jardin de celui du voisin.

La faune : là on peut dire qu’on a pas eu beaucoup de chance ! Moi qui rêvait de fixer sur la pellicule de merveilleux Aras, des grenouilles de toutes les couleurs, des singes et des paresseux, des Toucans et des crocodiles, des papillons géants … rien, rien de rien. On a fait chou banc sur toute la ligne. Tant de jour que de nuit nous sommes rentrés bredouilles ou presque de nos promenades en forêt tropicale.

La végétation : Luxuriante partout, mais surtout au Costa Rica ou dès le passage de la frontière on a trouvé une différence significative.  Ah ! La beauté de la forêt tropicale qui plonge dans le Pacifique. Cela m’a rappelé la côte ouest et désertique de l’île sud de la Nouvelle Zélande… il y a 40 ans déjà. Le parcours depuis Tambor vers Nosara dans le Guanacaste en 4x4 par la plage à marée basse sur plusieurs kilomètres et la traversée des rivières par les gués au milieu de cette végétation tantôt tropicale tantôt aride sera un de mes meilleurs souvenirs de parcours. Également à noter les merveilleux paysages de collines et vallons sur le chemin de Monteverde.

Les volcans : comme pour la faune je regrette de n’avoir pas pu voir de mes yeux les cônes volcaniques si caractéristiques. On est passé tout près de 4 ou 5 de ces volcans et avec les nuages couronnant à chaque fois les sommets n’en avons vu aucun.

Le budget : On avait lu et on nous avait dit que le Panama n’était pas cher et que même au Costa Rica les prix étaient intéressants … À mon avis ceux qui pensent ça ne sont jamais allé en Asie ou en Inde. Coté logement le coût journalier pour notre famille de 4 personnes et sur 21 jours aura été sensiblement le triple de nos précédents voyages et la nourriture le double.

Mais bien sûr il ne faut pas oublier que nous étions en pleine période de vacances scolaires (pour les locaux) et de vacances de Noël … les prix à cette époque doublent allègrement.

Et ne manquez pas les deux dernières vidéos à venir, Le Surf à Nosara et les Colibris à Monteverde. (Je ne peux pas en diffuser plus qu’une en HD par semaine sur Vimeo)

Christian

vendredi 13 février 2015

Vidéo - forêt tropicale et océan Pacifique

Le plus bel Hostel de notre séjour en Amérique Centrale, au milieu d'une belle forêt tropicale et à 15 min des plages du Pacifique. Nous y avons passé 3 jours et le réveillon du jour de l'An ...


2015 Uvita - Costa Rica - côte Pacifique from christian chartier on Vimeo.

samedi 7 février 2015

Vidéo de Bocas del Toro - Panama

Bocas del Toro est un archipel d'îles au Nord du Panama, pas loin de la frontière avec le Costa Rica. J'avais publié un article le 28 décembre, en voici un peu plus.


Bocas del Toro - Panama from christian chartier on Vimeo.
vacances Noel 2014

mardi 3 février 2015

De l'ambivalence du voyage ... par Cécile

Voici un mois que nous sommes revenus, presque engloutis que nous sommes au cœur des frimas. La blancheur et la froidure nous sont redevenues quotidiennes avec bonheur et exaspération. Ambivalence des extrêmes qui se côtoient.  Nous sommes charmés par l’éblouissante beauté de l’hiver et maudissons, après les touffeurs tropicales, la morsure du froid qui menace à tout moment de nous engloutir. Malgré mon penchant immodéré pour les douceurs du sud,  je ne priverais pour rien au monde de l’intensité sublime de l’hiver au Québec. C’est une expérience puissante, belle et terrible, unique.

Ce voyage au Panama et au Costa Rica fut lui aussi unique. Nous retrouvions notre Marie partie quelques mois en Amérique Latine vivre sa soif de découvertes et d’universalité. Nous étions à nouveau tous les quatre, famille vivante, chaotique parfois, drôle, insupportable aussi, stimulante et douce. Du bonheur au soleil…

Des longs voyages il ne nous reste parfois que des bribes de souvenirs, des vagues impressives, des parfums  lourds, de sensations subtiles. La douceur d’un fruit, un regard croisé, un détail auditif qu’on a su capter au milieu d’un marché… On ramène dans notre présent de minuscules particules d’un grand tout. Alors on s’accroche à une rencontre, un rayon de soleil, un goût sur les lèvres, une note qui nous ont amenés un peu plus loin, un peu plus riches.
Je retiendrai de ce périple familial le bonheur irrépressible de rester longtemps, si longtemps à me baigner dans l’océan, la beauté des plages aussi présentes tout au long de notre voyage.

Je garde l’éblouissement de la luxuriance de la nature comme un cadeau rare. La végétation tropicale, les nuages qui s’accrochaient sur les hauteurs que ce soit en allant aux îles San Blas, à Boquete ou même à San José. L’immense palette des verts vibrants de chlorophylle avec une puissance incomparable. La beauté solaire des plantations de palmiers à huile si nocive pour notre santé. Toujours l’ambivalence du monde !

Je garderai aussi la douceur de partager ces précieux moments de découverte avec mes filles, ces deux jeunes filles qui sont au bord du nid, qui déjà font de longues envolées bien loin de nous. Alors, sachant que d’autres temps sont à venir,  je profite intensément de leur chaleureuse et stimulante présence dans la douceur des tropiques…

Je conserverai au fond du cœur, toute la douceur des rapports des pères envers leurs enfants que ce soit au Panama ou au Costa Rica. Quel belle surprise de découvrir ces hommes forts, de tous âges, de toutes conditions sociales si proches de leurs enfants. Ils ont une présence tranquille, une douceur et une délicatesse touchante dans leurs rapports. Bien au-delà des a priori sur les machos latins. Que ce soit ce papa indien dans le bus panaméen ou la gentillesse d’un père prenant soin de son nouveau-né pendant des heures, ne laissant son trésor à sa compagne qu’au moment de l’allaitement … Quel beau cadeau de voir ces hommes si délicats et si forts remplir leur mission de pères avec tant de sérieux et de douceur !

Encore une fois, ce qui m’a le plus touchée pendant ce voyage, ce sont les femmes et les hommes. Les petits, les indiens, les blancs, les vieux, les riches, les enfants, les pauvres, les paysans, les très pauvres, les grands, ceux de là-bas, ceux de très loin… Je pense qu’on ne voyage que pour rencontrer nos frères. Parfois on ne les supporte pas, tout comme il nous est parfois difficile de nous supporter nous-mêmes… On ne les supporte pas car ils sont le reflet ce que l’on n’aime pas de nous, tout au fond.

Mais quand on voyage, on part à l’aventure vers l’autre. On part parfois pour s’esbaudir, fuir, oublier, s’enivrer … de soleil, de couleurs, de  musique. Mais on part surtout pour se sortir de notre lot quotidien, de notre commun. Et on se rend compte que nous avons tant en commun justement. Paradoxe immuable. On part pour rencontrer, soi, l’autre… On part avec nos bagages, les légers et ludiques mais également les lourds et tristes. Comme disait une amie, j’aimerais parfois partir en vacance sans moi !

On part en voyage pour découvrir le plus grand, le plus beau, le plus intense… le plus vrai. Et en ce sens, ces semaines latines furent une vacance au sens premier du terme, un moment libre, disponible avec de l’espace pour tous les possibles. Je suis consciente du cadeau infini de la vie de pouvoir voyager ainsi avec les miens, j’en suis très reconnaissante. Les voyages quel bonheur, même intenses et parfois rudes, quelle richesse.

Je ramène de ce voyage le goût toujours vivant de l’autre. Ce besoin de partage qui donne tout son sens à  notre humanité.

Merci à Murielle d’avoir veillé sur la maison et les chats, merci à Corinne, Beverley et Ian, Gloria et Philippe, merci à Aisha et sa famille grâce à qui nous avons eu une super voiture pour le Costa Rica. Merci à mon amoureux, Christian, de partager ce goût du voyage, de l’aventure et d’avoir tenu contre vents et marées le fort du blogue. Et merci à vous, lecteurs qui avaient suivi nos aventures sur le blogue !


dimanche 1 février 2015

Videos des San Blas

Voici les premières vidéos - à regarder de préférence dans l'ordre - 3 jours dans l'archipel des San Blas du 23 au 25 décembre.

Premier jour l'arrivée dans les îles


San Blas 1 from christian chartier on Vimeo.

Second jour, une balade en lancha et de la plongée libre dans une eau cristalline


San Blas 2 from christian chartier on Vimeo.

Dernier jour, le retour des îles vers le continent et quelques vues du trajet chaotique en 4x4


San Blas 3 from christian chartier on Vimeo.

dimanche 11 janvier 2015

Dans quelques jours nous allons vous revenir pour clore cette belle aventure ...

J'ai demandé à Cécile, Marie et Alix d'écrire un petit article pour donner leurs impressions du voyage.  Je ferai le mien aussi soyez en persuadés.

Soyez un peu patients chers lecteurs car le retour au bercail après 3 semaines d'absence est pas mal occupé ....

les Cariboux

vendredi 9 janvier 2015

San José, dernier jour du voyage.

Dernier jour de vacances, dernier jour du voyage. Nous l'avons passé à visiter San José la capitale. Nous avons arpenté les rues du centre ville, architecture sans grand intérêt il faut le dire, des immeubles de béton des années 1970, époque à laquelle il a été décidé de remplacer les maisons coloniales par une architecture moderne et des rues tracées au carré comme aux USA. Ce n'est franchement pas une réussite. Le centre, à part quelques monuments classés comme le bureau de poste, le Théâtre National - qui voudrait ressembler à l'opéra Garnier de Paris - et quelques maisons ayant échappées aux bulldozers, n'est que boutiques de fringues bon marché et de fast-food. 

Du monde, beaucoup de monde, du bruit, beaucoup de bruit. Devant de nombreux magasins des rabatteurs criant à tue-tête pour appeler le chaland, des vendeurs à la sauvette faisant de même, On y ajoute les klaxons des voitures, et les innombrables autobus pare-chocs contre pare-chocs ... difficile de trouver un endroit paisible pour se reposer un peu.

Heureusement qu'il y a les musées et le théâtre que nous sommes allés visiter pour retrouver un peu de calme.

Chose suprenante dans un pays sans armée, il y a des policiers partout, à pied, à vélo, ou juchés sur des structures en hauteur aux endroits névralgiques de la ville, gros carrefours ou places publiques. Quand aux maisons, elles sont toutes barricadées et protégées soit par d'énormes grilles soit directement par des gardiens. L'insécurité est latente, personne, ni les particuliers ni les commerçants laissent les grilles ouvertes et il faut souvent sonner pour se faire ouvrir.

Retour a l'hôtel en milieu d'après midi pour mettre Marie dans un taxi - elle est allée comme prévu passer 2 jours dans son ex famille d'accueil de son voyage de 4ème secondaire - et nous repartons faire un dernier tour en ville pour manger quelque chose avant de sauter nous même dans un taxi vers l'aéroport. Note vol est à 1:45am demain matin ... La nuit va être longue.

Descente de l'hostel vers le centre ville
Apprendre pour comprendre, parceque comprendre c'est être libre ... Spinoza
On a fait des boutiques et des boutiques pour trouver LE tee-shirt PURA VIDA de Marie

Encore quelques vestiges d'une époque révolue 
Des grilles partout, des flics partout

Au marché d'artisanat


Au musée de l'art précolombien 

Des merveilles de finesse preuve d'une culture avancée - 500 av JC à 500 ap JC



le train passe en plein milieu de la rue et klaxonne très très fort pour s'annoncer 


Le Theatro National


jeudi 8 janvier 2015

Nous n'aurons pas vu de volcans ...

En fin de compte nous n'aurons pas vu de volcan ni au Panama ni au Costa Rica. À chaque fois, manque de chance, les nuages couvrent les sommets et ne n'en voyons que les contreforts. Ni le volcan Arenal ni le volcan Poas près de San José ne se sont laissés voir ces deux derniers jours.

Notre nuit à la Fortuna au pied du volcan Arenal a été pas mal perturbée par des averses tropicales qui ne se sont arrêtées qu'au petit matin laissant une végétation luxuriante nous ravir les yeux. Mais les nuages sont resteés trop bas pour que nous puissions profiter de la vue du volcan avant notre départ.

La route qui va nous amener à notre dernière étape, la capitale San José, traverse de magnifiques paysages dans la chaîne centrale du pays. Cette route ne va pas arrêter de descendre et monter pendant les 150 km qui nous séparent du but. 

Nous allons nous arrêter à Sarchi, petite localité ou plus de 200 artisans travaillent le bois et fabriquent principalement des meubles et des charrettes traditionnelles peintes de couleurs muticolores. Ils fabriquent aussi tout plein d'objets en bois à destination des touristes comme des plats, des animaux, des reproduction de voitures ... 

Sur la grand place de ce village sans trop de charme il y a une belle église de ton pastel qui est la première église avec un peu de style que nous verrons dans le pays. On a aussi aimé de grands arbres couverts de fleurs oranges tout le long de la route entre Sarchi et la capitale.

Nous sommes arrivés à San José en milieu de l'après midi, juste le temps de poser nos sacs à l'hostel et d'aller faire un tour au centre ville encore tout illuminé pour les fêtes. San José est une ville bruyante comme toutes les grandes villes des pays en voie de développement, embouteillée par les bus et les voitures, surtout que nous étions au début de la sortie des bureaux. La température est assez fraîche pour la saison, nous sommes à 1200 mètres d'altitude.

Demain dernier jour ...


La pluie tombe au lever du jour ...
Vue depuis notre "cabana" du volcan Arenal caché par les nuages
La route entre Arenal et San José
L'église de Sarchi
Décorations traditionnelles de la roue d'un char immense emblème de la ville
Une vue de Sarchi
Alix devant une charrette
Visite de l'atelier ou se fabriquent les charrettes et leurs roues en bois

Le volcan Poas .... Caché par les nuages

San José by night

On a fini la journée autour d'une énorme pizza 

mercredi 7 janvier 2015

Randonnée matinale dans la canopée puis en route vers le volcan Arenal

Aujourd'hui promenade dans la canopée - enfin plutôt un étage intermédiaire entre la sol et la canopée - La canopée est l'étage supérieur de la forêt, directement influencée par le rayonnement solaire. Elle est parfois considérée comme un habitat ou un écosystème ...

Cette randonnée de deux heures nous a fait parcourir de nombreux chemins au niveau du sol ou nous avons observé la végétation luxuriante et surtout de nombreuses passerelles métalliques soutenues par des câbles nous permettant de voir un peu mieux ce qui se passait en hauteur. Le problème dans ces randonnées pour les touristes que nous sommes c'est que les animaux de la forêt fuient ces chemins trop fréquentés et qui est très difficile de voir de près la faune. Nous auront vu quelques oiseaux dont un énorme hiboux et un joli oiseau rouge, quelques colibris en fin de parcours et une sorte de ragondin.

Énormément de vent pendant ces dernières 24 heures. On nous a dit que en décembre et janvier il y avait toujours du vent, beaucoup de vent. Hier soir et toute la nuit il a souflé très fort, des pointes à plus de 120 km/h et avec des trombes d'eau. À tel point que le toit de la police de Monteverde a été emporté la veille. La nuit à été assez bruyante et perturbée.

Vers midi nous avons quitté Monteverde pour rejoindre la région du lac et du volcan Arenal, le dernier volcan ayant eu une activité au Costa Rica et qui, suite à un séisme en 1968 s'est réveillé d'une longue période de sommeil et est resté actif de 1968 à 2010. La campagne était de toute beauté tout au long des 120 km de piste et de goudron des 4 heures que durera le parcours.


Demain dernier jour avec la voiture, nous rejoignons San José fin de notre périple.

Les Cariboux sur un pont suspendu









Observation d'un très gros hiboux .... avec des jumelles 
Beaucoup d'epiphytes




On joue à Tarzan en fin de parcours
Le père aussi ...

Ils appellent cet animal un rat .... Mais il est gros comme un très gros lapin ...
Sur la route d'Arenal
Lac Arenal

Hier des vents de plus de 120 km/h ... On a vu les dégâts tout le long de la route

cabanas à Arenal, notre dernière étape avant la capitale

Merveilleux ce mélange rouge et vert sur la même plante
Intérieur de note cabana toute en bois exotique.